Publié le 21 août 2020
Les tendances pour faciliter la gestion de la mobilité au sein de votre organisation partent toutes de la même prémisse :
« Le cellulaire est plus qu’un simple téléphone ! »
Il y a dix ans, les principales fonctions d’un téléphone mobile étaient relativement simples : on faisait ou on recevait des appels, quelques textos, et les premiers propriétaires d’un téléphone un peu plus évolué, comme un bon vieux BlackBerry, pouvaient même avoir accès à leur boîte de courriel.
De nos jours, les fonctions téléphoniques d’un appareil mobile sont tombées dans l’ombre. À tel point que les fabricants, quand ils dévoilent leurs plus récents modèles, n’en parlent même pas. Ils insistent plutôt sur d’autres caractéristiques qui ont peu à voir avec la téléphonie : l’appareil photo, l’autonomie, la taille de l’écran, etc.
Ce changement s’explique par le fait que les utilisateurs sont dorénavant davantage intéressés par ces fonctions. Ça va aussi plus loin : les dizaines de milliers d’applications mobiles font du téléphone intelligent qu’on a dans la poche un outil de création, de partage, de paiement et de navigation (à la fois en ligne et sur la route, grâce aux fonctions GPS embarquées).

Naturellement, ces gens, une fois au boulot, espèrent que leur employeur tiendra compte de ces détails au moment de s’entendre avec un fournisseur qui leur offrira des services mobiles adaptés à cette réalité. Alors que de plus en plus d’employés préfèrent apporter leur propre appareil au travail (le fameux « BYOD », en anglais), ils espèrent tout de même pouvoir profiter d’une connexion mobile et numérique partout, en tout temps.
Pour l’employeur, cela veut dire que le téléphone représente plus qu’un simple outil de communication auprès de son employé et peut même devenir un moyen de le récompenser. Le téléphone mobile peut donc avoir un effet mobilisateur et l’employeur pourra en tirer profit, selon sa volonté (ou non) d’implanter une stratégie de « BYOD » en entreprise (mieux connu sous les termes de « personally owned device that is corporately enabled » en anglais).
À cet égard, l’employeur a donc 3 choix :
- Lignes (forfaits et appareils) payées par l’entreprise
- Lignes (forfaits) payées par l’entreprise, mais appareils des employés payés par eux-mêmes (l’appareil appartient donc à l’employé)
- Lignes (forfaits et appareils) payées par l’employé et remboursées en partie ou en totalité par l’entreprise (« corporately reimbursed »)
Dans les cas d’appareils remboursée par l’entreprise ou de cellulaires personnels apportés en entreprise, le défi des entreprises est l’implantation d’une politique de gouvernance en mobilité d’entreprise (considération de sécurité, de gestion, etc.).
À découvrir: notre service de mobilité pour les entreprises
Pour voir l’entièreté du webinaire et le reste des questions (diffusé le 17 juin 2020) :
Dès lors, des outils de gestions ne nécessitant aucune intervention de la part de l’utilisateur dits « Zéro touch deployment » (comme DEP) et de gestion des flottes des appareils mobiles en entreprise (ou MDM pour Mobile Device Management, en anglais) deviennent essentiels pour opérationnaliser le tout et pour en simplifier la gestion en toute sécurité.
Or, pour que votre organisation puisse bénéficier des avantages d’une telle stratégie, il faut d’abord qu’elle se penche sur ses besoins particulier et qu’elle puisse compter sur un fournisseur des services mobiles qui lui assurera la plus grande flexibilité. Car si le téléphone mobile est plus qu’un simple outil de communication, votre fournisseur de services mobile se doit d’évoluer aussi!